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Les Mythes de la Chasse au Cerf de Virginie

Introduction

Les chasseurs de cerfs de Virginie se transmettent souvent des idées reçues qui méritent d'être démystifiées. Voici quelques-uns des mythes les plus courants sur la chasse au cerf de Virginie et la vérité qui se cache derrière eux.


Mythe : Les mâles deviennent nocturnes sous pression

Bien que les mâles réagissent à la pression de la chasse, ils ne dorment pas toute la journée pour échapper aux chasseurs. Ils continuent à poursuivre les femelles, mais dans des zones plus couvertes.


Mythe : L'empreinte du mâle se distingue par la présence des ergots

Tous les cerfs ont des ergots. En terrain mou ou boueux, ces ergots laissent des impressions que ce soit un mâle ou une femelle. Cependant, la longueur de la foulée peut indiquer un mâle mature.


Mythe : Seuls les grands mâles frottent sur les grands arbres

Les mâles de tous âges frottent sur des arbres de toutes tailles. Ils utilisent leurs glandes frontales pour laisser une odeur et marquer leur territoire.


Mythe : Uriner près de votre poste de chasse effraie les cerfs

Des études montrent que l'urine humaine n'effraie pas les cerfs et peut même les attirer.


Mythe : Chasser près des grattages est le meilleur moyen de trouver un grand mâle pendant le rut

Les mâles visitent les grattages plus souvent avant et après le pic du rut. Pendant le rut, ils sont trop occupés à s'occuper des femelles prêtes à se reproduire.


Mythe : Le rut est déterminé par les phases de la lune

Le rut est déclenché par le nombre d'heures de lumière du jour, afin de maximiser les chances de survie des faons.


Mythe : Les jours venteux, il vaut mieux rester au camp

Bien que le vent réduise les sens des cerfs, ils continuent leurs activités. Chasser par temps venteux peut être avantageux car votre odeur est moins détectable et le bruit est masqué.


Références

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